Booster Entreprises 2023 : les fondateurs de MÖKO reviennent sur cette fabuleuse aventure.
Lucas CHENESSEAU et James HARRISON, deux participants à la promotion 2023 de Booster Entreprises, nous expliquent ce que cette formation, portée par la JCE Cannes-Pays de Lérins, leur a apportés pour la création de leur projet MÖKO.
MÖKO (Modern Online Knowledge Opportunities) est une plateforme d’apprentissage de l’anglais qui s’adapte aux capacités d’apprentissage de l’apprenant grâce à l’IA et à des cours de vrais professeurs.
Vous souhaitez apprendre ou améliorer l’anglais ? MÖKO vous offre l’accès à des ressources et à l’accès à de vrais professeurs, et vous donne envie de continuer grâce à une plateforme moderne (qui fait penser à un jeu dans un univers futuriste) et d’une communauté en ligne.
James est professeur d’anglais, Lucas est chef de projet logiciel, un « Business Wizard » comme il se décrit lui-même sur le site https://www.moko.school/.
« Booster », c’est une formation intense sur 2 jours, suivie, pendant une année, par les conseils d’un chef d’entreprise aguerri, au profit de porteurs de projet ou de créateurs d’entreprises de moins de 3 ans d’existence. Toutes les informations sur la page dédiée et suivez notre actualité sur les réseaux sociaux pour les dates du départ de la prochaine promotion.
Propos recueillis par Coralie Duez.
JCE : J’ai lu ce qui est écrit sur le site, vous voulez ajouter quelque chose ?
MÖKO : C’est nickel, juste pour la description du projet, c’est un format d’apprentissage qui est adapté aux besoins des digital natifs, donc des personnes qui sont à l’aise avec le numérique. L’IA vient à côté, pour optimiser l’apprentissage, apporter des outils, et un suivi personnalisé. Ce n’est pas l’IA qui fait tout le travail de l’apprentissage. Il y a des vrais professeurs, des vrais cours, un programme à suivre.
JCE : Vous avez suivi l’opération booster de la JCE, qui est, en gros, une formation intense sur 2 jours, puis suivie toute l’année par un chef d’entreprise agguéri. Du coup, comment est-ce que vous avez connu l’opération booster ?
MÖKO : On a connu l’opération booster lorsqu’on a rencontré les membres de la JCE, lorsqu’on a participé à l’événement « Viva association » à Cannes. On avait rencontré Berangère (Présidente de la JCE Cannes – Pays de Lérins, ndlr) qui nous a parlé de la JCE, de ce qu’elle faisait pour l’entrepreneuriat, pour les jeunes et pour leurs engagements également RSE. C’est là qu’on a découvert avec eux, c’était hyper intéressant. Du coup, elle nous a parlé du programme booster parce qu’on on lui a parlé de notre projet. C’est comme ça qu’on a découvert cet accompagnement.
JCE : Vous étiez à quel stade de votre projet quand vous avez découvert booster ?
MÖKO : Alors on était au stade où ça faisait 8 mois qu’on travaillait un peu tout seul dans notre coin sur La solution et on venait de se décider de commencer à participer à des événements, d’essayer de trouver des potentiel partenaire. Parce qu’on avait construit la solution, on avait besoin de trouver des partenaires, créer du contact et discuter autour du projet. C’est le premier événement auquel on a participé. À partir de ce stade-là, on s’est dit « bon ben, maintenant essayons de discuter un peu du projet, de le présenter à des gens, voir les retours qu’on a ». Du coup, c’était le premier événement et on les a rencontré donc pile à ce moment où on se disait de sortir de notre grotte et montrer le projet un peu au grand public.
JCE : Vous vous souvenez dans quel état d’esprit vous étiez avant booster ?
MÖKO : Avant booster, on était justement un peu comme des ermites, on travaillait qu’entre nous et le projet n’était pas sorti des quatre murs. Donc, on était super motivés. Avant de les rencontrer, on avait vraiment cette envie de trouver des gens qui pouvait comprendre l’intérêt, le potentiel du projet, qui pouvaient potentiellement nous apporter quelque chose donc c’était quelque chose qu’on cherchait un petit peu. On a eu la chance d’avoir un rendez-vous avec Bérangère et Adrien, on a beaucoup aimé leur mentalité, leur personnage et on a tout de suite apprécié qu’il comprennent le projet dans toute sa mesure et dans toute sa grandeur, c’était super !
JCE : Est-ce que vous pouvez nous partager un moment fort de booster pour vous ?
Lucas : Tu en as un ?
James : Vas-y !
Lucas : J’en ai un ! Je pense que le moment fort c’était, je pense, le pitch de fin et la rencontre avec notre mentor, c’était très sympa, ça marquait un peu la fin de ce programme et le début d’une autre étape. Il y avait ce programme intense qui a duré 2 jours et du coup , après, c’est un peu la concrétisation de ce programme avec le pitch. Voir aussi toutes les autres personnes qui étaient là à « Booster » pitcher, moi je trouvais que c’était un moment très cool. Des personnes qu’on avait rencontré donc 2 jours avant, avec des projets, et 2 jours après tous nous voir pitcher c’était très sympa. Et rencontrer le mentor, discuter et pouvoir parler de l’avenir. Moi, je pense c’était ça le moment fort.
James : Moi, j’en ai plusieurs, ils sont un peu étalés. J’allais dire le pitch aussi, de rencontrer Davy, notre notre mentor, et c’était vraiment de partager cette expérience avec d’autres entrepreneurs, les intervenants aussi que j’ai trouvé super et bien sûr les organisateurs qui étaient au top.
JCE : Et, du coup, qu’est-ce qui s’est passé pour MÖKO depuis booster ?
MÖKO : Où commencer ? En parallèle de booster, on a commencé l’accompagnement à la French Tech à Nice, également l’accélérateur l’Ouvre boîte Côte d’Azur. On a beaucoup avancé sur le projet, on se rapproche du développement de l’application et de la création de la société. Tout s’est accéléré entre ce moment où l’on a commencé à parler du projet, trouver des gens qui nous faisaient confiance, qui étaient intéressés, qui nous ont apporté leur aide. Donc ça a vachement accéléré le projet et là, on a participé aussi à un concours de pitch où l’entraînement au pitch JCE a été bien utile en préparation, c’était très sympa. On a beaucoup travaillé sur la solution, on se rapproche du développement de la solution et la création de la société, toutes les étapes sur lesquelles on a travaillé avec la JCE, on les a mis en pratique très peu de temps après. La partie comptable, juridique, et cetera, ça a été super utile, la démarche commerciale … C’était parfait pour se mettre en jambe avant de se lancer.
JCE : Super ! Maintenant, dans quel état d’esprit êtes vous ?
Lucas : Confiants. J’allais ajouter, sur la question d’avant, qu’on a eu beaucoup de personnes intéressées par le projet, beaucoup de soutient, beaucoup de rencontres fructueuse avec des experts ou des personnes qui ont des profils divers et variés, qui veulent tous soutenir le projet d’une manière ou d’une autre, que ce soit par expertise ou voulant être des participants du projet. Donc moi, je dirais confiance, et toi ?
James : Ouais, confiance.
JCE : Dernière petite question, je vais demander à Lucas : je suis toi, quand tu avais 18-20 ans. Qu’est-ce que tu me dirais ?
Lucas : La même chose que je dis aujourd’hui, parce que je suis toujours dans le même état d’esprit : c’est de croire en ses rêves et de foncer toujours, d’aller vers ce qui nous fait envie et de pas avoir peur de l’échec ou peur de ce que vont dire les gens, surtout quand on prend des risques. On a souvent beaucoup de personnes qui vont essayer de nous faire comprendre à quel point les choses peuvent être dangereuses. Je dirais : « continue c’est la bonne mentalité ».
JCE : Et toi, James ?
James : j’adore la réponse de Lucas et je vais ajouter que tout prend le temps que ça doit prendre, que beaucoup d’expériences n’arrivent pas pour rien et qu’il faut faire confiance à ses rêves et à ses ambitions et de foncer. Du coup, ça retrouve ce que dit Lucas, croire en ses rêves, faire confiance à ses rêves, car il faut s’écouter.
JCE : Comment est-ce qu’on peut suivre votre actualité ?
MÖKO : On peut suivre notre actualité sur les réseaux sociaux, l’activité entrepreneuriale du projet principalement sur LinkedIn où l’on partage un peu les coulisses du projet entrepreneurial avec moi et James. Après, pour ce qui est du projet en lui-même, ce sera plus sur les réseaux sociaux pour des communications un peu plus classiques. Sinon, pour les coulisses, on partage quelques petits trucs sur LinkedIn de temps à autre et sur la chaîne.
JCE : Vous avez oublié votre site web 😉
MÖKO : Notre site web, pour l’instant, c’est un site web un peu mystérieux, c’est une landing page qui récolte les adresses des gens intéressés. On peut trouver effectivement des informations sur notre projet plus en détail.
JCE : J’ai vu la première page assez tournée gaming, ça me fait penser à un jeu en réalité virtuelle…
MÖKO : C’est un peu l’idée, c’était d’essayer de créer une sorte de portail où on aurait l’impression de de pénétrer dans un autre monde qui est le monde, l’univers de Möko, un univers d’enseignement. Mais c’est quelque chose d’assez nouveau, donc on voulait le représenter au travers de la page d’accueil du site, qu’on ait un peu l’impression de s’aventurer dans quelque chose qui a l’air intéressant mais dont on ne comprend pas encore tout, ce qui est normal parce que le projet n’est pas encore en ligne.
JCE : D’accord ! Et toi, James ?
James : Pareil, sur les réseaux, sur LinkedIn. Après, on travaille ensemble sur la communication donc on peut autant suivre le projet sur le profil de Lucas comme sur le mien.
JCE : D’accord, ça marche ! Je vous remercie et à bientôt, je pense que vous allez avoir des nouvelles de la JCE prochainement… Mais je ne peux rien dire !
MÖKO : Ah trop cool ! Ça marche, hâte de savoir ! C’est toujours des bonnes surprises de toute façon avec la JCE donc trop bien ça marche merci !
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